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Né à Paris en 1842, Stéphane Mallarmé est élevé par ses grands-parents. Elève médiocre, il est renvoyé de sa pension en 1855. Il compose ses premiers poèmes après la mort de sa soeur Maria en 1857. A dix-huit ans, il entre dans la vie active, en devenant surnuméraire à Sens, "premier pas dans l'abrutissement" selon lui. Il parvient cependant à faire publier plusieurs de ses poèmes dans des revues. Il recontre Maria Gerhard, qu'il épouse, et avec qui il part s'installer à Londres. De retour en France, il devient professeur d'anglais, et continue de composer ses poèmes. A partir de la fin des années 1860, une succession de rencontres marquent un tournant dans sa vie : Verlaine, Rimbaud, Victor Hugo, Manet, Zola soutiennent le poète. Ses poèmes sont publiés, ainsi que ses traductions d'Edgar Allan Poe. A la mort de Verlaine en 1896, Mallarmé lui succède comme prince des poètes. Mais il décède à son tour seulement deux ans plus tard, laissant une lettre à sa femme lui recommandant de détruire ses notes et ses papiers.
Pour un tombeau d'Anatole
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